Né
dans le nord de la Grande-Bretagne, à la frontière anglo-écossaise,
dont il tient son nom (en anglais « border » veut dire frontière),
des gravures du
XVIIe
siècle le montrent en compagnie des seigneurs du
Cumberland avec qui il chassait à courre le renard.
Posséder
un Border n’était pas le privilège de la noblesse puisque les
paysans
avaient trouvé en lui un gardien infatigable, aussi bien
de leur basse-cour que de leurs moutons qui constituaient leur richesse
principale de par leur laine mondialement réputée (le cheviot).
Ses
origines sont assez obscures on admet qu’il aurait un lien de parenté
avec le Bedlington, le Dandie-Dinmont et le lakeland terrier.
En
1920, le Border terrier Club vit le jour, celui-ci est toujours en activité,
la même année le Kennel Club reconnaissait officiellement la race.
En
France, la race commence à se développer. Les naissances sont sont en
progression constante, elles étaient de 103 pour 1998.